La semaine dernière, j’ai assisté à un meeting à Rome au cours duquel j’ai eu l’occasion de étudier quelques contenus proposés par les marques. Et en les regardant, j’ai été stupéfait de voir combien certaines marques n’ont pas réalisé les fondements du contenu de marque : la majorité de ces contenus n’offrait effectivement dénué de tout intérêt, et ceux-ci étaient indubitablement condamnés à être des oubliés par les spectateurs. On ne le rappelera jamais assez, mais dans le champ du brand content, la qualité est la condition sine qua non du succès. En effet, dans une économie de l’attention, il n’y a que les contenus de qualité peuvent avoir accès à la visibilité. Il serait temps que ces marques comprennent que sur le marché bondé des contenus, ceux proposés par les marques ne sont pas seulement en concurrence avec les autres publicités. Les contenus de marque font face à la somme des contenus disponibles, ce qui inclut ceux proposés par les médias classiques. Les spectateurs ont le choix de découvrir un contenu de marque ou le dernier one man show de Franck Dubosc, peuvent se repasser une vidéo collector de Rihanna ou le documentaire d’un festival sponsorisé par Buitoni. Si elles veulent s’imposer, les marques doivent exposer des contenus à haute valeur ajoutée, et elles ne réussissent pas nécessairement à leurs fins. Les contenus sont déjà en nombre, pourquoi les individus iraient-ils s’essayer à des contenus de marques ? Les contenus jaugés comme sans valeur sont condamnés à se noyer dans l’énorme nuage des contenus amenés chaque jour et qui n’attirent pas l’attention, comme ces centaines de livres qui sont publiés à chaque rentrée et sont un fiasco. Certaines marques qui exhibaient leurs contenus lors de ce meeting à Rome n’ont visiblement pas pris acte de cette obligation de valeur ajoutée. Consultez notre page d’accueil pour en savoir plus sur séminaire à Rome. Et cette dernière est d’autant plus fondamentale que la plupart des individus ne trouvent pas que contenus et marques aillent de soi, ni qu’elles soient habilitées àen proposer. Elles doivent donc tâcher de convaincre, et la qualité d’un contenu est la meilleure façon de garantir la pertinence de cette mutation de la marque en média.