Pendant des centaines d’années, les premiers ministres britanniques ont résisté aux scandales, aux échecs et aux démissions sans avoir à se soucier de Twitter.
Le pire qu’ils pouvaient espérer était une caricature politique cinglante dans les journaux. Mais le mandat de Theresa May a été très différent.
Même si le phénomène de la mémoire en ligne est loin d’être nouveau, elle a peut-être été le premier à embrasser véritablement le média, à contrecœur.
Alors, alors qu’elle danse depuis Downing Street, voici un retour sur son époque sous les projecteurs souvent cruels du monde virtuel.
Mars 2017: Le rire L’écriture était sur le mur de bonne heure. Normalement, un échange entre les questions du Premier ministre sur le conseil du comté de Surrey ne dérangerait pas indûment la Twittersphere.
Mais quand le Premier ministre a abordé tout le Docteur Evil, baissant la tête en arrière et riant des questions de Jeremy Corbyn, eh bien …
Mai 2017: les jetons Les choses ont vraiment commencé à chauffer – du moins au sens GIF – après que Theresa May ait convoqué des élections générales en 2017.
Elle espérait gagner plus de soutien pour la renforcer dans les négociations sur le Brexit. En fin de compte, tout cela s’est retourné contre lui, un peu comme sa tentative de manger des chips.
Comme d’autres politiciens l’ont découvert, la nourriture peut être un champ de mines. Et, alors que le Premier ministre participait à un festin frit sur le sentier de la campagne électorale, elle était aspergée du vinaigre amer du ridicule.
Juin 2017: Les champs de blé Assurément, la sécurité d’un studio de télévision constituerait un répit pour la mémoire. Pas si.
Avec le recul, referencement naturel c’était une question assez chargée; une invitation ouverte à se tirer une balle dans le pied. Mais Theresa May l’a embrassé de tout cœur.
« Quelle est la chose la plus vile que tu aies jamais faite? » a demandé Julie Etchingham à ITV. Et le Premier ministre a révélé qu’elle et ses amis d’enfance « avaient l’habitude de parcourir des champs de blé ».
Si vous nous pardonnez, Twitter a eu une journée bien remplie. Août 2018: danser Alors que 2018 s’annonce, le Brexit se profile à l’horizon comme un troupeau de gnous sur le veld, et même un vol long-courrier à destination du Cap n’apporte pas de répit.
Twitter était prêt lorsque le Premier ministre s’est joint à quelques danseurs dans une école secondaire lors d’une visite en Afrique du Sud.
Octobre 2018: Reine de la danse La meilleure défense contre la moquerie est de rire le plus fort possible.
Mmm. Mme May s’est certainement essayée à la conférence du Parti conservateur, se produisant devant Dancing Queen d’Abba avec ce qui était peut-être une tentative enthousiaste d’engouement pour la danse des années 80, The Robot.
C’était un effort louable. Mais – pour certains au moins – cela a semblé être plus SOS que Thank You For the Music.
Sauter le post Instagram par le monde Voir ce post sur Instagram La Première ministre britannique Theresa May est entrée en scène lors de la conférence de son parti conservateur à Birmingham, au Royaume-Uni, mercredi en dansant devant «la reine dansante» d’ABBA avant de défendre le Brexit. May a été surnommée « Maybot » plus tôt cette année pour ses mouvements de danse robotique lorsqu’elle a essayé de danser avec des écoliers et des éclaireurs lors de visites en Afrique du Sud et au Kenya plus tôt cette année 💃😬 (: Reuters) – #theresamay #maybot #tory #tories #participative #participative #politicien #politiciens #primeminister #dance #danse #dancemoves #dancingqueen #abba #brexit #birmingham #uk #british
Un article partagé par BuzzFeed World (@world) le 4 octobre 2018 à 13 h 35 (heure de Paris). Rapport Fin du post Instagram par le monde
Mai 2019: la fin En fin de compte, il était peut-être approprié que le discours de démission ému de Theresa May ait été accueilli de cette façon.
Lorsque, après des mois de pression incessants et des coups de poignard dans le dos, elle a finalement fait une pause et a pleuré à Downing Street, la sympathie de certains …
Mais pas du tout de tous. Quel que soit le prochain occupant de Downing Street, il devrait le savoir: pendant qu’il essaiera de s’occuper du Brexit et de l’Iran, Twitter sera à l’écoute, prêt.